martedì 22 febbraio 2011

Les rhumatismes dégénératifs



Essentiellement l’arthrose, elle consiste en une destruction progressive des structures anatomiques, le cartilage puis l’os sous chondral.

Au départ c’est une douleur de type mécanique, puis commence les destructions articulaires qui sont responsable des exostoses intéressant les articulations portantes (genoux, hanches, rachis lombaire). Cet exostose peut au niveau de la hanche ou de la rachis lombaire prendre l’aspect en bec de pirojki appelé ostéophyte.

Ces ostéophytes au niveau de rachis lombaire peuvent avoir un développement postérieur à l’origine d’une compression de la racine postérieure de la moelle occasionnant une douleur à type de névralgie sciatique.

Au cours de certaines professions exposées, on assiste à l’installation du même modèle mais cette fois à l’échelle cervicale et avec des douleurs irradiant le long des membres supérieures. On parle de névralgies cervico – brachiales, ces névralgies s’observent particulièrement chez le chirurgien dentiste constituant ainsi une maladie professionnelle.

Traitement : repose sur

- ATG, AIF.

- Myorelaxants.

En cas de douleur importante :

La mise en décharge est conseillée par un rééducateur et parfois recours au traitement chirurgical.

Causes :

La cause la plus fréquente de lombosciatique est représentée dans 80-90% par l’hernie discale au cours de laquelle le ligament vertébrale postérieur comprime la racine postérieure occasionnant au départ un tableau de l’imbagho (douleurs osseuse diffuses, dorsalgies), la douleur s’organise par la suit ou se fixe au niveau de l’espace inter vertébral (disk) en un pont précis en para vertébral avec une douleur radiculaire (compression d’une racine d’un nerfs) possède les caractéristiques suivantes :

- Point de départ localisé

- Trajet de la douleur fixe

- Type décharge électrique

- Accentuation de la douleur lors de l’étirement de la racine ou manœuvre de LASEGUE, normalement la flexion de la jambe sur le pied à angle droit (90°) en cas de névralgies sciatiques il y a une réduction de l’extension par la douleur. Cette manœuvre permet :

· D’étirer la racine.

· Préciser la sévérité de l’atteinte.

Chez c’est la prière.

L’hernie discale : peut être responsable de 3 tableaux

1- la lombosciatique de type S1 : qui est la variété la plus fréquente

Trajet : dos face antéro – interne de la fesse face postérieure de la cuisse

face postérieure de la jambe tendon de Hashi bord externe de pied petit orteil.

2- la lombosciatique de type L5 : tourne

Trajet : dos fesse face postérieure de la cuisse loge antéro – externe de la jambe dos du pied gros orteil.

3- la lombosciatique de type L4 : (rare).

La lombosciatique de type S1 compliquée de trouble moteur va entraîner une impossibilité de marcher sur la pointe du pied et une disparition du réflexe Hashilien.

La lombosciatique de type L5compliquée va être responsable d’un déficit de la marche sur le talon et plus grave encore un steppage.

Ces 2 dernières situations (S1, L5) constituant avec la lombosciatique hyper algique 2 indications à la chirurgie en urgence dans un cas par la douleur et dans l’autre par le risque de steppage définitive.

Diagnostic de certitude : repose sur

La radio de rachis : pincement discale localisé.

Un scanner mais encore une IRM

Le traitement :

La chirurgie.

Autres causes de l’hernie discale :

Spondyle arthrite ankylosante.

Mal de pott (tuberculose vertébrale).

Métastases de cancer ostéophyte : kavom, thyroïde, branche, sein, rein, et chez l’homme prostate et testicule.

L’obèse.

La femme ménopausée.

Manutentionnaires.

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